L’information est ahurissante, mais confirme les déconvenues que rencontrent plusieurs Panafricanistes depuis un certain temps, notamment dans certains services consulaires et auprès de certains États Occidentaux.Le PDG d’Afrique Média, par ailleurs directeur exécutif de l’Agence Panafricaine de Renseignements (APR), vient d’être interdit d’entrée sur le territoire américain, à cause de ses convictions politiques et géopolitiques…simplement soupçonné par la CIA, le FBI et la NSA d’être l’un des agents du président Vladimir Poutine pour aider un candidat à l’élection présidentielle. La scène s’est produite à l’aéroport JFK de New York.
La scène s’est jouée à l’aéroport international JFK de New York, où Justin Tagouh, PDG du groupe Afrique Média et directeur exécutif de l’Agence Panafricaine du Renseignement, a été brutalement interdit d’entrée sur le sol américain. Ce blocage, survenu alors qu’il se rendait à New York pour assister à la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, est la preuve manifeste des tactiques intimidatrices et anti-démocratiques des services secrets américains.
Sous le prétexte fallacieux d’une association supposée avec le président Poutine, les États-Unis ont, une fois de plus, démontré leur incapacité à respecter les principes mêmes qu’ils prêchent au monde entier : la liberté et la démocratie. En empêchant M. Tagouh d’assister à cet événement mondial, ils cherchent non seulement à nuire à la libre circulation des idées, mais surtout à museler les voix africaines qui osent remettre en question leur hégémonie.
Les services secrets américains se comportent comme des voyous, employant des méthodes qui relèvent plus du gangsterisme que de l’application de la loi. Le traitement réservé à un haut représentant africain, empêché de participer à une assemblée mondiale, s’apparente à un affront fait non seulement à l’Afrique, mais aussi à toutes les nations soucieuses de justice internationale. Ce genre d’acte rappelle tristement les méthodes des cartels mafieux qui gangrènent le système mondial.
Le cas de Justin Tagouh est un symbole de la répression exercée par les États-Unis à l’encontre de ceux qui s’opposent à leurs intérêts stratégiques. En acceptant la direction de l’Agence Panafricaine du Renseignement, Tagouh est devenu une cible prioritaire des services secrets américains. Ce blocage à JFK n’est qu’un signe de la panique de Washington face à la montée d’une Afrique unie et indépendante. En effet, depuis la création de cette agence panafricaine, les autorités américaines ne cachent plus leur crainte de voir émerger un continent africain doté d’une plus grande capacité de renseignement et d’autonomie stratégique.
En qualifiant la liberté américaine de « farce », il devient évident que ce principe n’est qu’un prétexte pour asseoir leur pouvoir. La réalité est bien plus sombre : les États-Unis, par l’intermédiaire de leurs services de renseignement, exercent une répression systématique contre les leaders africains qui cherchent à promouvoir une politique indépendante et souveraine pour le continent.
Le blocage de Justin Tagouh est un signal d’alarme pour l’Afrique et le monde. Les méthodes d’intimidation américaines doivent être dénoncées pour ce qu’elles sont : des attaques contre la souveraineté des nations et une tentative de maintenir une mainmise impérialiste sur les ressources et les dirigeants africains. Mais qu’ils se le tiennent pour dit : l’Afrique ne se laissera pas intimider. Tagouh, fort de son engagement et de sa détermination, continuera à défendre les intérêts du continent, quelles que soient les manœuvres de Washington.
Les services secrets américains se comportent de plus en plus comme une force déstabilisatrice, non seulement pour leurs ennemis déclarés, mais pour toute nation ou personne qui ne s’aligne pas sur leur vision unilatérale du monde. Il est temps que l’opinion publique internationale ouvre les yeux sur la réalité des actions américaines et s’oppose fermement à ces dérives autoritaires qui menacent la paix mondiale.
L’affaire Tagouh est un rappel brutal que la lutte pour la liberté, la vraie, est loin d’être terminée. L’Afrique et le monde entier doivent rester vigilants face à ces méthodes de gangsterisme international déguisées en sécurité nationale.
La Rédaction